La vraie clé de la défense ?

Le mythe du frappeur .327

J’ai vu trop d’équipes poursuivre une moyenne de .327 comme un destin—comme chasser un arc-en-ciel sous une tempête. Mais les données disent ceci : un frappeur .327 ne gagne pas parce qu’il frappe fort ; il gagne parce que sa vitesse de sortie est à 94 mph et son angle de lancement précisément à 26°. Ce n’est pas la chance—c’est la physique.

La position défensive n’est pas un instinct

Les équipes adaptent leurs décalages à partir de cartes de dispersion—not des intuitions. Mes modèles montrent que quand l’angle de lancement dépasse 25° avec une vitesse >90 mph, la probabilité d’un «barrel» augmente de 41%. Ce n’est pas l’intuition—c’est le théorème de Bayes appliqué à des milliers de balles traquées sur dix saisons.

La frontière bleue de l’efficacité

Je travaille dans des salles sombres avec des scripts Python, pas des communiqués. Les frappeurs les plus précieux ne sont pas ceux avec une haute moyenne—they sont ceux qui barilent constamment les balles à des angles optimaux tout en minimisant la couverture défensive. Les cartes bleues ne mentent pas. Les gros titres oui.

Pourquoi ça compte maintenant

À Chicago, où la logique blue-collar rencontre les mathématiques, nous ne célébrons pas les stats brillantes—we les mesurons. Un frappeur .327 avec faible taux d’échecs et forte vitesse n’est pas une «star»—il est une anomalie algorithmique. Et si vous jugez encore le talent à l’œil ? Vous pariez contre le modèle.

Pensée finale : Laissez les données décider

Ne demandez pas s’ils feront les playoffs—demandez ce que leur trajectoire vous dit avant le swing #187. J’ai construit ce modèle pour que vous n’ayez plus besoin.