Pourquoi les Spurs ont chuté de 7 % après la mi-temps ?

L’anomalie que personne n’a remarquée

La nuit, lors d’un match éliminatoire Spurs-Suns, les chiffres ne mentent pas—tous les autres l’ont ignoré. L’efficacité au tir a chuté de 7 % après la mi-temps. Pas à cause de la fatigue. Pas à cause d’un mauvais entraîneur. Mais parce que personne n’a modélisé la dégradation du rythme défensif—ou pire, l’a négligée.

L’algorithme que les entraîneurs ignorent

La plupart des outils analytiques supposent une répartition des tirs statique par quart. Ils se trompent. En réalité, les équipes comme San Antonio s’adaptent moins quand la fatigue s’installe—surtout sous pression play-off. Leurs modèles ne prennent pas en compte la dégradation du rythme : comment les joueurs se repositionnent défensivement après la pause, ou comment l’espace s’effondre sous surcharge défensive.

Nous avons formé notre modèle sur plus de 120 matchs sur cinq saisons. La chute n’était pas aléatoire—elle était structurelle.

Pourquoi cela importe plus que le buzz

Vous ne verrez pas ça dans les highlights ESPN. Vous n’en entendrez pas parler chez les analystes qui cherchent des clics. Mais si vous regardez les données brutes—la séquence des positions de tir, les changements de proximité défensive, la variation temps-tir—you verrez clairement : les équipes qui ne s’adaptent pas à leur schéma défensif après la mi-temps perdent en efficacité… non par accident… mais par conception.