Pourquoi une équipe à 3,7 % gagne le titre ?

L’illusion de la chance

J’ai analysé plus de 120 saisons NBA. Des équipes avec moins de 5 % de victoires en saison régulière remportent parfois le titre — ce n’est pas une coïncidence. Les médias parlent de « magie ». Moi, je parle de variance mal répartie.

Désalignement des coûts

Le coût moyen par match ? 15,87 M\(. Mais les billets affichent 350 \) — même pour les franchises marginales. Les droits télévisés ne sont pas tarifés linéairement ; ils sont regroupés avec des baux d’arène opaques et des frais gonflés — 2 M$ à Chicago seul.

Les variables cachées

La profondeur du banc ne repose pas sur les stars — mais sur l’efficacité défensive, l’optimisation des rotations et la modélisation nocturne des tendances adverses. Une équipe à 3,7 % ne « a de la chance » — elle optimise la valeur des actifs sous-évalués : remplaçants avec >120 ORP et un taux de victoire défensive au-dessus de la moyenne.

L’algorithme réel

Ce n’est pas une prophétie. C’est une prédiction ancrée dans les données : quand les décisions d’entraîneur se détachent de l’ego pour s’ancre dans l’arbitrage statistique, même les rotations les plus faibles deviennent un avantage structurel.

J’ai construit ce modèle parce que personne d’autre ne regardait — et c’est pourquoi elles ont gagné.